Le fil des actualités :
Bonjour à tous,
Je vous rappelle que désormais l'IDES ouvre 200 jours par an, soit une semaine de plus en février, à Pâques, à la Toussaint et 10 jours de plus l'été. Ces journées sont obligatoires. Pendant ces semaines, le travail éducatif/rééducatif portera sur le mouvement.
Date à retenir en 2022 :
Pâques : lundi 18/04
Printemps : du 29/04 au soir au 09/05 au matin
Ascension : du 25/05 au soir au 30/05 au matin
Pentecôte : le 06/06
Fête de l'IDES : le 18/06
Eté : du 12/07 ausoir au 01/09 au matin
Réunion des parents : le 08/10
Toussaint : du 28/10 au soir au 07/11 au matin
Noël : du 16/12 au soir au 03/01/23 au matin
Les vendredi 22 avril, 1er juillet, 21 octobre et 16 décembre, les jeunes quitteront à 13h15 au lieu de 15H
Désormais, si vous venez nous voir, il vous faut d'abord vous signaler en sonnant à l'interphone. Attention, lorsque vous poussez la porte, faites-le à partir des barreaux et non à partir de a poignée qui peut être blessante (travaux en cours). Le pass sanitaire ou une PCR de moins de 3 jours sont nécessaires pour venir nous voir. Masques chirurgicaux de type II, lavage régulier des mains et distanciation seront toujours d'actualité afin de connaître une année la plus sereine possible;
Nos coordonnées ont aussi changé, les voici
Muriel MANGIN, directrice 01 43 35 53 61
Valérie Veyron, cheffe de service 01 43 35 53 54
Jennifer Mithouard, coordinatrice pédagogique 01 43 35 53 56
Isabelle Frérot, assistante de direction 01 43 35 53 60
Micheline Abdeljalil, assistante sociale 01 43 35 53 57
Infirmerie 01 43 35 53 55
Dr Oppenheim, médecin psychiatre 01 43 35 51 51
Muriel Cappello, psychologue 01 43 35 51 52
Panga à l'Elysée !
Art thérapie
Certains jeunes de l'IDES ont pu bénéficier d'une très belle expérience, avec Solène Junet, stagiaire se formant à l'art thérapie. Voici son retour d'expériences :
"Sept jeunes de l'IDES, non-voyants et malvoyants, exposent actuellement leurs photographies dans l'institut. Elles ont été réalisées durant les séances hebdomadaires individuelles d'art-thérapie dont ils ont bénéficié.
- En touchant et suivant les contours de la silhouette découpée de l'élément photographié (ex : une personne de profil, une table...) et les différentes textures collées sur la photo rendant visible le contenu de la forme découpée.
- En étant audio-décrite par des voyants ou par des applications sur téléphone portable avec l'assistance vocale du portable, que la photo soit imprimée ou non.
- En touchant les photos en relief soit en étant gaufrées à la main, soit en étant imprimées avec une imprimante 3D.
- L'utilisation d'un trépied sur lequel est posé l'appareil photo et d'un retardateur sonore, qui permettent d'être à la fois celui qui prend la photo et celui qui est dessus.
- L'utilisation des applications sur téléphone portable permettant une reconnaissance visuelle par l'appareil photo du portable avec une audio-description des couleurs, des matières et des objets perçus, couplé à l'assistance vocale (paramètres mobiles) qui permet d'utiliser le portable de manière indépendante avec chaque bouton touché donnant une réponse audio.
- L'utilisation des capacités préservées et supplémentaires des jeunes comme les autres sens que la vue.
Les photographies ont donc été rendues tactiles et sonores.
Enfin, ils ont pu expérimenter et intégrer les notions de cadrage, d'échelle (recul pour un grand objet et rapprochement pour un plus petit), de netteté, de format vertical ou horizontal en fonction de l'élément pris en photo, de plongée, contre-plongée... Mais également plusieurs thèmes : autoportrait, light-painting, ombres, actions/mouvements (sauts, lancers...), groupe, individuel, émotions, espace intérieur et extérieur (architecture, pièces, nature...), macro, trompe-l’œil...
Solène Junet, stagiaire art-thérapeute à l'IDES, en formation à l'université de médecine de Tours"
Quelques réalisations
A l'heure du télé travail, il est plus que jamais nécessaire de penser à reposer sa vue, enfants et adultes. Voici quelques conseils prodigués par Zahra Houacine, orthoptiste à l'IDES : https://youtu.be/5fznTh5eo8s
La charte des droits et des libertés
Arrêté du 8 septembre 2003 relatif à la charte
des droits et libertés de la personne accueillie
Le ministre de l’intérieure et des libertés locales, le ministre des affaires sociales, du travail et de la solidarité, le garde des sceaux, ministre de la justice, le ministre de la santé, de la famille et des personnes handicapées, le ministre délégué aux libertés locales, le ministre délégué à la famille, le secrétaire d’Etat à la lutte contre la précarité et l’exclusion, la secrétaire d’Etat aux personnes handicapées et le secrétaire d’Etat aux personnes âgées,
Vu le code de l’action sociale et des familles, et notamment ses articles L.311-3 et L.311-4 ;
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code civil, et notamment son article 375 ;
Vu l’ordonnance n°45-74du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ;
Vu l’avis du Comité national de l’organisation sanitaire et sociale en date du
12 février 2003.
Arrêtent :
Article 1.
Les établissements, services et modes de prise en charge d’accompagnement visés à l’article L.312-1 du code de l’action sociale et des familles délivrent, dans les conditions prévues à son article L.311-4, la charte visant à garantir les droits et libertés cité à son article L.311-3. La charte des droits et libertés de la personne accueillie est annexée au présent arrêté.
Article 2.
Les dispositions des articles L.116-1, L.116-2,L.311-3 et L.313-24 sont jointes en annexe à la charte délivrée à chaque personne bénéficiaire de prestations ou de services, et affichées dans l’établissement ou le service.
Article 3.
Lorsque le catégorie de prise en charge, d’accompagnement ou lorsque la situation de la personne le justifie, sont annexées les dispositions des articles L.1110-1 à L. 1110-5 et L.1111-2à L.1111-7 du code de la santé publique en tant qu’elles concernent les droits des personnes bénéficiaires.
Article 4.
Le non-respect de l’article 1er, constaté notamment dans le cadre des contrôles prévus aux articles L.313-13, L.313-20 et L. 331-1, emporte application des articles L.313-14 et L.313-21 du code susvisé.
Article 5.
Le directeur général des collectivités locales, le directeur général de l’action sociale et le directeur de la protection judiciaire de la jeunesse sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Journal Officiel de la République française.
Annexe Charte des droits et libertés de la personne accueillie
Article 1er – Principe de non discrimination
Dans le respect des conditions particulières de prise en charge et d’accompagnement, prévues par la loi, nul ne peut faire l’objet d’une discrimination à raison de son origine, notamment ethnique ou sociale, de son apparence physique, de ses caractéristiques génétiques, de son orientation sexuelle, de son handicap, de son âge, de ses opinions et convictions, notamment politiques ou religieuses, lors d’une prise en charge ou d’un accompagnement, social ou médico-social.
Article 2 – Droit à une prise en charge ou à un accompagnement adapté
La personne doit se voir proposer une prise en charge ou un accompagnement, individualisé et le plus adapté possible à ses besoins, dans la continuité des interventions.
Article 3 –Droit à l’information
La personne bénéficiaire de prestations ou de services a droit à une information claire, compréhensible et adaptée sur la prise en charge et l’accompagnement demandés ou dont elle bénéficie ainsi que sur ses droits et sur l’organisation et le fonctionnement de l’établissement, du service ou de la forme de prise en charge ou d’accompagnement. La personne doit également être informée sur les associations d’usagers oeuvrant dans le même domaine. La personne a accès aux informations la concernant dans les conditions prévues par la loi ou la règlementation. La communication de ces informations ou documents par les personnes habilitées à les communiquer en vertu de la loi s’effectue avec un accompagnement adapté de nature psychologique, médicale, thérapeutique ou socio-éducative.
Article 4 – Principe du libre choix, du consentement éclairé et de la participation de la personne
Dans le respect des dispositions légales, des décisions de justice ou des mesures de protection judiciaire ainsi que des décisions d’orientation :
1° La personne dispose du libre choix entre les prestations adaptées qui lui sont offertes soit dans le cadre d’un service à son domicile, soit dans le cadre de son admission dans un établissement ou service, soit dans le cadre de tout mode d’accompagnement ou de prise en charge ;
2° Le consentement éclairé de la personne doit être recherché en l’informant, par tous les moyens adaptés à sa situation, des conditions et conséquences de la prise en charge et de l’accompagnement et en veillant à sa compréhension.
3° Le droit à la participation directe, ou avec l’aide de son représentant légal, à la conception et à la mise en œuvre du projet d’accueil et d’accompagnement qui la concerne lui est garanti. Lorsque l’expression par la personne d’un choix ou d’un consentement éclairé n’est pas possible en raison de son jeune âge, ce choix ou ce consentement est exercé par la famille ou le représentant légal, lorsque l’état de la personne ne lui permet pas de l’exercer directement. Pour ce qui concerne les prestations de soins délivrées par les établissements ou services médico-sociaux, la personne bénéficie des conditions d’expression et de représentation qui figurent au code de la santé publique.
La personne peut être accompagnée de la personne de son choix lors des démarches nécessitées par la prise en charge ou l’accompagnement.
Article 5 – Droit à la renonciation
La personne peut à tout moment renoncer par écrit aux prestations dont elle bénéficie ou en demander le changement dans les conditions de capacités, d’écoute et d’expression ainsi que de communication prévues par la présente charte, dans le respect des décisions de justice ou mesures de protection judiciaire, des décisions d’orientation et des procédures de révision existantes en ces domaines.
Article 6 – Droit au respect des liens familiaux
La prise en charge ou l’accompagnement doit favoriser le maintien des liens familiaux et tendre à éviter la séparation des familles ou des fratries prises en charge, dans le respect des souhaits de la personne, de la nature de la prestation dont elle bénéficie et des décisions de justice. En particulier, les établissements et les services assurant l’accueil et la prise en charge ou l’accompagnement des mineurs, des jeunes majeurs ou des personnes et familles en difficultés ou en situation de détresse prennent, en relation avec les autorités publiques compétentes et les autres intervenants, toute mesure utile à cette fin.
Dans le respect du projet d’accueil et d’accompagnement individualisé et du souhait de la personne, la participation de la famille aux activités de la vie quotidienne est favorisée.
Article 7 – Droit à la protection
Il est garanti à la personne comme à ses représentants légaux et à sa famille, par l’ensemble des personnels ou personnes réalisant une prise en charge ou un accompagnement, le respect de la confidentialité des informations la concernant dans le cadre des lois existantes. Il lui est également garanti le droit à la protection, le droit à la sécurité, y compris sanitaire et alimentaire, le droit à la santé et aux soins, le droit à un suivi médical adapté.
Article 8 – Droit à l’autonomie
Dans les limites définies dans le cadre de la réalisation de sa prise en charge ou de son accompagnement et sous réserve des décisions de justice, des obligations contractuelles ou liées à la prestation dont elle bénéficie et des mesures de tutelle ou de curatelle renforcée, il est garanti la personne de la possibilité de circuler librement. A cet égard, les relations avec la société, les visites dans l’institution, à l’extérieur de celle-ci, sont favorisées. Dans les mêmes limites et sous les mêmes réserves, la personne résidente peut, pendant la durée de son séjour, conserver des biens, effets et objets personnels et lorsqu’elle est majeure, disposer de son patrimoine et de ses revenus.
Article 9 – Principe de prévention et de soutien
Les conséquences affectives et sociales qui peuvent résulter de la prise en charge ou de l’accompagnement doivent être prises en considération. Il doit en être tenu compte dans les objectifs individuels de prise en charge et d’accompagnement.
Le rôle des familles, desL'IDES amène certains enfants à la ludothèque située 39 rue Baron le Roy, à Paris 12. De votre côté, n'hésitez pas à y accompagner vos enfants. Voici la newslettre de la ludothèque :
représentants légaux ou des proches qui entourent de leurs soins la personne accueillie doit être facilité avec son accord par l’institution dans le respect du projet d’accueil et d’accompagnement individualisé et des décisions de justice. Les moments de fin de vie doivent faire l’objet de soins, d’assistance et de soutien adaptés dans le respect des pratiques religieuses ou confessionnelles et convictions tant de la personne que de ses proches ou représentants.
Article 10 – Droit à l’exercice des droits civiques attribués à la personne accueillie L’exercice effectif de la totalité des droits civiques attribués aux personnes accueillies, et des libertés individuelles est facilité par l’institution, qui prend à cet effet toutes mesures utiles dans le respect, si nécessaire, des décisions de justice.
Article 11 – Droit à la pratique religieuse Les conditions de la pratique religieuse, y compris la visite de représentants des différentes confessions, doivent être facilitées, sans que celles-ci puissent faire obstacle aux missions des établissements ou services. Les personnels et les bénéficiaires s’obligent à un respect mutuel des croyances, convictions et opinions. Ce droit à la pratique religieuse s’exerce dans le respect de la liberté d’autrui et sous réserve que son exercice ne trouble pas le fonctionnement normal des établissements et services.
Article 12 – Respect de la dignité de la personne et de son intimité Le respect de la dignité et de l’intégrité de la personne est garanti. Hors la nécessité exclusive et objective de la réalisation de la prise en charge ou de l’accompagnement, le droit à l’intimité doit être préservé.
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L’enseignement à l’IDES
Depuis la loi sur la scolarisation de 2005, l'IDES accueille de nombreux jeunes ayant en plus de leur déficience visuelle des troubles associés tels que ceux d'ordre scolaire (dyscalculie, dyslexie, dysorthographie), mais d'autres aussi comme la dyspraxie, la dysphasie, les gnosies, les troubles de l'attention et de la mémoire, les troubles moteurs (hémiplégie fréquente), cognitifs, psychiques, auditifs, les troubles neurovisuels à condition qu’ils ne nécessitent pas un accompagnement particulier ou individuel que l’IDES ne pourrait pas leur offrir.
Le JE ouvert aux parents (en 2015/2019 du fait de travaux de rénovation, le JE ne sera pas ouvert aux parents).
Dans une ambiance chaleureuse, les éducatrices du JE accueillent les enfants, répondent à leurs besoins fondamentaux, leur permettent de s’épanouir pleinement par le biais de nombreuses activités multisensorielles et la verbalisation qui les accompagne, les amène vers une autonomie progressive pour vivre au mieux la vie en collectivité et développe leur langage, leurs compétences motrices et leurs possibilités de compensations multisensorielles de leur déficit visuel. Elles sont aidées en cela par de nombreux autres professionnels (médecin psychiatre, rééducateurs, professeur d’école, de musique, de sport) et souhaitent en 2014/2015 ouvrir leurs portes aux parents les 6 demi-journées suivantes (temps de déjeuner inclus) : lundi 10 nov AM, mardi 9 déc PM, lundi 2 fév PM, jeudi 12 mars AM, jeudi 21 mai AM et vendredi 12 juin AM. 3 parents au maximum pourront être présents à chaque ½ journée.
Objectifs de ces journées portes-ouvertes :
• Favoriser les échanges et la communication entre les parents et entre les parents et les professionnels (éducateurs, rééducateurs, médecin psychiatre en fonction des disponibilités).
• Ecouter et accompagner les parents dans leur rôle parental.
• Favoriser l’épanouissement personnel de l’enfant en faisant des liens entre les apprentissages faits à la maison et ceux réalisés à l’IDES, en permettant aux parents de voir leur enfant évoluer au sein d’un collectif, en croisant les différents regards portés sur l’évolution de l’enfant.
• Favoriser l’implication des parents en leur faisant prendre part à des ateliers à thématique éducative ou rééducative, en leur faisant assister aux repas, en leur demandant leur avis, en échangeant des conseils.
Au tour des parents d'avoir leur blog !
N'hésitez pas à vous y connecter pour y voir les dernières photos de vos enfants en activités !
https://plus.google.com/113226666789854113543?gpsrc=gplp0&
L’histoire des bouchons pour un chien
Depuis 1999, l’IDES propose un programme de médiation animale, avec des chiens d’assistance spécifiquement éduqués par l’association Handi’Chiens.
Durant 10 ans, au jardin d’enfants (groupe des 4/7 ans), le chien a fait partie de la vie quotidienne des plus jeunes de notre établissement.
D’abord avec Ninon, une jolie golden femelle, puis en 2005, elle a dû prendre une retraite anticipée pour des raisons de santé. C’est Uztail, un grand golden mâle qui l’a remplacée auprès des petits.
En 2009, le projet de médiation animale s’est transformé et a évolué vers la rééducation en Relation d’Aide par la Médiation Animale (RAMA).
En 2010, Dim, une fougueuse femelle labrador noire a rejoint Uztail afin d’offrir cette rééducation à un plus grand nombre de nos jeunes bénéficiaires (enfants et adolescents).
En 2012, Uztail a dû prendre sa retraite et c’est Rouky, un majestueux golden mâle qui continue le travail avec Dim.
Nous avons obtenu ces quatre chiens gratuitement grâce aux donateurs d’Handi’Chiens : Fondation de France, Lyons’club de Paris et Fondation Sommers. Un seul chien coûte
13 600 € à Handi’Chiens.
Cette année, j’ai proposé aux jeunes de l’IDES de devenir également donateur d’Handi’Chiens, par le biais de l’association « Bouchons d’amour ». A notre tour de participer au financement d’un chien et de permettre à une personne handicapée de recevoir son chien Handi’Chiens. Chacun se mobilise autour de la collecte des bouchons afin de rassembler les fonds nécessaires à ce projet.
Les jeunes de l’établissement et leurs familles, mais aussi les enfants du personnel qui mettent à contribution leurs propres camarades de classe, la Maison Notre-Dame de Chartres (les orphelins d’Auteuil), le groupe Natixis, le stade municipal de Rosny-sous-Bois, l’école primaire de Cachan, une personne SDF hébergée par Emmaüs, un laboratoire d’analyses biologiques, les assurances APRIA RSA, les Lyons club de Paris, le foyer de vie d’Oeuvres d’Avenir, le SIAM 75 et beaucoup d’autres anonymes qui viennent déposer leurs bouchons à l’accueil de l’IDES. Tous se mobilisent autour de la collecte des bouchons.
Aujourd’hui nous avons récolté 2 tonnes de bouchons plastiques et 50 kilo de bouchons liège et vendu pour 210 € de gadgets Handi’Chiens à la fête de l’IDES (juin 2013), soit l’équivalent d’une tonne de bouchons.
Bilan en 8 mois de récolte : 3 tonnes inscrites à notre « compteur ».
L’association Bouchons d’Amour a pour objectif de financer du matériel pour les personnes handicapées afin d’améliorer leur quotidien.
C’est pourquoi nous avons reçu une proposition des Bouchons d’Amour de financer l’achat d’une machine Perkins à une enfant &